lundi 23 mai 2011

Les bons d'Etat


L'été revient, revoilà les bons d'Etat

Staatsbon
Avec le bon d’Etat, votre épargne est bien placée. C’est un placement conçu spécialement pour vous: la souscription est strictement réservée aux seuls épargnants particuliers.
Vous avez plus d'une raison pour opter résolument pour les bons d'Etat:
  • rendement: investir dans les bons d'Etat vous assure un rendement intéressant
  • disponibilté: c’est un placement dont vous pouvez disposer à tout moment: les bons d’Etat sont cotés tous les jours à la Bourse.
  • sécurité: c’est un placement sans risque: il est garanti par l’Etat.
  • planning: vous pouvez planifier votre épargne: les bons d’Etat sont émis régulièrement à dates fixes.
Avec les bons d'Etat votre épargne est en de bonnes mains! voulez-vous aussi souscrire de manière sûre? Souscrivez du 24 mai au 1er juin 2011 inclus.
Les coupons des bons d'Etat qui seront émis le 4 juin 2011 sont fixés comme suit:
  • Bon d'Etat à 3 ans (4 juin 2011-2014, Code BE3871234618) : 2,50 %
  • Bon d'Etat à 5 ans (4 juin 2011-2016, Code BE3871235623) : 3,25 %
  • Bon d'Etat à 8 ans (4 juin 2011-2019, Code BE3871236639) : 3,75 %
  • Pour chacun des bons d'Etat, le prix d'émission sera fixé le 23 mai 2011.
Vous trouverez toutes les informations sur les bons d'Etat sur le nouveau site web de l'Agence de la Dette www.bonsdetat.be

dimanche 22 mai 2011

L'après DSK au FMI : personne n'est exclu !


Didier Reynders sur le plateau de l'Indiscret
Didier Reynders sur le plateau de l'Indiscret

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D. Reynders s'intéresse au FMI dans l'Indiscret
Le ministre des Finances, Didier Reynders, s'est dit dimanche dans l'Indiscret intéressé par la direction du Fonds monétaire international, tout en reconnaissant que la Française Christine Lagarde était favorite pour être la candidate des Européens.
Le ministre des Finances souligne qu’il n’y a pas réellement de candidature pour ce poste. L’éventualité de la succession de DSK avait été évoquée bien avant du fait de sa possible candidature à la présidentielle en France. La première condition est qu’il faut que ce soit un ou une européenne et que les pays européens se mettent d’accord sur une personnalité.
Didier Reynders souligne que c’est une fonction "qui ne se refuse pas, une fonction où l’on est plus coopté que candidat". Si les Etats européens se mettent d’accord sur la nécessité d’une candidature européenne, Didier Reynders est "bien entendu intéressé". "C’est une fonction où on peut avoir un impact sur l’activité économique, sur l’activité politique". "Je crois qu’en politique il faut se dire "là où l’on est le mieux pour servir, autant en assumer les fonctions".
Mais un autre nom circule, celui de la ministre des finances françaises, Christine Lagarde qui est la favorite des pays européens. Pour Didier Reynders qui la connait depuis 2007 en tant que "collègue" souligne que "c’est quelqu’un qui a acquis progressivement une très grande expérience" et "qui a une très bonne connaissance du monde américain".
Pour Didier Reynders, il est tout à fait légitime que l’Europe revendique cette fonction. Il souligne que les Etats-Unis qui sont "très friands des pays émergents n’ont pas l’intention de quitter la présidence de la banque mondiale ni celui du numéro 2 du Fond monétaire". Les pays émergents président déjà les deux comité ministériels tant à la Banque mondiale qu’au Fond monétaire et si les européens devaient perdre cette fonction, "ils ne seraient plus présents nulle part".
Didier Reynders connaissait Dominique Strauss-Kahn depuis plus d’une douzaine d’années et a été "abassourdi" par la nouvelle. Il souligne qu’il est d’abord présumé innocent mais également que "les faits reprochés sont gravissimes et s’ils devaient être avérés, il faut avoir au moins la même pensée à l’égard de la victime présumée qu’à l’égard de la personne poursuivie".
Thomas Gadisseux demande s’il est surpris par ces faits de mœurs visiblement connu par tout le monde. Didier Reynders souligne la différence entre "quelqu’un de pressant, de séducteur qui aime les femmes et les faits gravissimes qui peuvent être incriminés comme des faits de viol s’ils étaient avérés".
Le ministre des Finances remarque qu’il a trouvé "inacceptable, en France, c’est la manière de minimiser les faits". Sans qu’on sache encore s’ils sont avérés, il remarque "qu’il faut arrêter d’avoir un sourires narquois ou un peu grivois". Pour Didier Reynder, cet évènement va poser la question, chez nous aussi de "la limite entre vie publique et vie privée pour des responsable publics".
Il rappelle que "si vous n’utilisez pas votre vie privée pour projeter une image vers le public, il est normal qu’on la préserve". Thomas Gadisseux réagit sur la possible existence d’une omerta sur ses sujets en Belgique "bien entendu mais c’est tout à fait connu en Belgique". Didier Reynders se dit choqué, en France comme en Belgique par le fait de "minimiser des faits, de considérer que les faits ne sont pas gravissimes" et que "aller vérifier si l’image véhiculée par des politiques correspond à la réalité, c’est un scandale".
Il ajoute qu’"il va falloir ouvrir ce débat, changer un peu les règles".
La crise en Belgique 
En ce qui concerne la crise en Belgique, Didier Reynders rappelle que les libéraux ont longtemps été tenus à l’écart jusqu’à ce qu’il se voit confier une mission qui n’a duré "que quatre semaines". Il souligne combien il a constaté que "PS et N-VA n’étaient d’accord sur rien et même pas sur la coalition". Néanmoins, il se réjouit qu’aujourd’hui "on dit qu’on va enfin parler des problèmes socio-économiques". Thomas Gadisseux souligne que pour autant le problème de la coalition reste entier et le ministre répond : "tant qu’on n’aura pas une coalition, on n’aura pas vraiment un formateur". "Comment voulez-vous former un gouvernement sans savoir qui va en faire partie ?".
Didier Reynders aimerait aussi qu’en parallèle on se pose la question "que veut-on encore faire ensemble en Belgique ?".
En rappelant les enjeux des négociations sur la réforme de l’Etat, Didier Reynders se demande "s’il y a une capacité à le faire avec un formateur", ce qu’il souhaite "mais pour cela il faut une coalition". Et "si ce n’est pas le cas, il faudra permettre au gouvernement actuel d’être renforcé, de prendre de nouvelles dispositions et d’organiser la réforme de l’Etat d’une autre manière". Il déclare accorder toute sa confiance à cette tentative de formation mais rappelle "il faudrait qu’assez vite, on connaisse la coalition".

Ph. Br. 

mercredi 4 mai 2011

Tendances du monde des affaires : un cas !


Delhaize, AB InBev, Telenet : qui a connu le meilleur 1er trimestre ?

mercredi 04 mai 2011 à 10h02
L’une de ces trois entreprises a vu son bénéfice baisser de près de 10 %, tandis que celui des deux autres doublait, voire triplait au premier trimestre de l’année.
© Belga

Delhaize : bénéfice en baisse de 9,4 %, à 218 millions d’euros

 
Delhaize a annoncé mercredi une légère hausse de 1,5 % (à taux de change réels) de ses revenus au premier trimestre, à 5,044 milliards d'euros. En revanche, le bénéfice net (part du groupe) du groupe a reculé de 2,9 %, à 126 millions d'euros. Le bénéfice d'exploitation a pour sa part diminué de 9,4 % (à taux de change réels), à 218 millions d'euros.
 
En Belgique, le groupe de distribution a vu ses revenus augmenter de 0,9 % au cours des trois premiers mois de 2011, à 1,154 milliard d'euros. Le bénéfice d'exploitation de Delhaize dans notre pays est en baisse de 6,2 %, à 57 millions d'euros. Le réseau de vente de Delhaize Belgique comprenait 806 magasins (dont 178 magasins intégrés), à la fin du premier trimestre, incluant 42 magasins au Grand-Duché de Luxembourg.
 
Aux Etats-Unis, le distributeur a réalisé un chiffre d'affaires de 3,422 milliards d'euros (+ 1,2 %) et un bénéfice d'exploitation de 158 millions d'euros (- 12 %). Fin mars 2011, Delhaize exploitait 1.635 supermarchés aux Etats-Unis.
 

AB InBev : bénéfice plus que doublé, à 964 millions de dollars

 
AB InBev a vu son bénéfice (attribuable aux porteurs des capitaux propres) atteindre 964 millions de dollars au premier trimestre, contre 475 millions de dollars au premier trimestre de 2010 (+ 103 %), a-t-il annoncé mercredi dans un communiqué. Le bénéfice normalisé pour le premier trimestre s'est accru de 29,7 %, à 1,156 milliard de dollars. L'Ebitda normalisé est quant à lui en hausse de 6,5 %, à 3,408 milliards de dollars.
 
Les volumes totaux se sont néanmoins tassés au cours des trois premiers mois de l'année, à 91,445 millions d'hectolitres (- 0,4 %). Ce tassement s'explique notamment par une baisse de 3,4 % des volumes totaux dans la zone Amérique du Nord. Le géant brassicole précise également avoir augmenté sa part de marché sur cinq de ses dix marchés-clés : l'Argentine, la Belgique, l'Allemagne, la Russie et le Royaume-Uni.
 

Telenet : bénéfice plus que triplé, à 42,8 millions de dollars

 
Telenet a enregistré un chiffre d'affaires de 331,6 millions d'euros au premier trimestre, en hausse de près de 5 % sur base annuelle, a annoncé mardi l'entreprise de télécom basée à Malines. Le bénéfice net est quant à lui en forte progression, à 42,8 millions d'euros, contre 13,3 millions d'euros au premier trimestre de 2010 (+ 221,8 %). L'Ebitda est quant à lui en hausse de 7 %, à 174,2 millions d'euros.
 
S'agissant des perspectives pour l'ensemble de l'année 2011, Telenet indique voir des «opportunités de croissance», en raison notamment du fait que 40 % des clients de Telenet sont encore abonnés à un seul produit.
 
Trends.be, avec Belga

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